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Bienvenue à toi, cher visiteur perdu dans les méandres du net

Edito
   Les années passent mais les souvenirs sont là. Les années 80 étaient belles.La télé devenait petit à petit un objet courant (avant on ne pouvait la voir que quelques heures le dimanche et le mercredi). Les consoles n'étaient pas encore là alors on devait s'amuser avec des jouets: Kiki, Gi joe, Musclor...ils sont tous là.
Venez revivre votre enfance et rappelez vous tous ces bons souvenirs

   Be Happy Just Have Fun

Scandy
 

    Liste des objets

Jouet I
View Master
Dictée Magique
Big Jim
Wacky Wallwalker
Battle Beasts
Monsters In my Pocket
Le Savant Fou
Dragster
Army Gear

Jouet II
Les Dents de la Mer
Bidibulle
Visionnaries
GI Joe
Food Fighters
Fabuland
Lazer Tag

Jouet III
Arc et Catapultes
Jeux d'eau
Darda Motor Car
Ring Raiders
Musclor
Power Lords
Anatomie 2000
 Shaker Magique

 

A venir:

Mask
Dino Riders
Starcom
Petits Soldats
Sctroumph
Chevaliers du Zodiaque
Plunk, la Tour Infernale
Spyrograph
Gobots
Captain Power
Capsela

Objets divers:

Verres Amora
Kazou
Scoubidou
Rubik's Cube
Club des Maitres de l'Univers
TéléJunior
Arthur et Zoe
Puces Sauteuses
Jouets Sauteurs


 
A venir:

Déstresseur
Main Collante
Cadeaux Bonux
Les Fiches Safari
Stampy
Yoyo
Cagoule
Côle cléopatre

Pelluche

Bisounours
Kiki
Popples
Cabbage patch kids
My Pet Monster

Nourriture:

Tang
 Prosper, Pain d'épice
Tubble Gum
Cigarette en chocolat
Boulle Magique

 

 

Partie I

View Master

Les jeunes d'aujourd'hui ont peut être l'adsl, tout plein de chaines de téles, des lecteurs DVD..mais à mon époque (c'est à dire en 1540) on était émerveillé par le View Master. En gros c'était une sorte de jumelle à part qu'au lieu de voir de loin, on voyait des images en 3d. Il suffisait de mettre une planche en forme de disque qui reprenait deux fois la même image (une pour chaque oeil) et waou tu voyais un truc en relief. Trop délire

   Si on avait cette impression de relief c'est grace à notre vision binoculaire. Lorsque nous observons un objet, nos deux yeux s'y orientent, mais sous des angles différents. Ce phénomène de convergence est reproduit par la stéréoscopie. ils suffisait donc de prendre deux photos de l'objet en tenant compte de la différence d'angle.


   Tous les héros les plus populaires, que ce soit des dessins animé (Goldorak, Disney, la Bataille des planétes...) mais aussi des séries (comme Happy Days) ont eu droit à leurs films stéréoscopiques. Chaque "disque" nous contait plus ou moins une histoire. Mais bon fallait mieux connaitre l'histoire au préalable sinon c'était difficile à suivre.

  

 La dictée magique

  Le jouet maudit, celui que j'espérais ne pas avoir. Le Speak and spell de Texas Instrument était un véritable professeur. Il disait un mot à charge pour le gosse de l'écrire comme il faut sinon la machine lui disait qu'il se trompait et lui balançait un "essaies encore" en pleine gueule. A l'époque ce qui a fait le succés de la machine, c'est non seulement le fait que ce "jouet" était éducatif mais du côté des enfant c'est surtout le fait que pour la 1ère fois, une machine parlait.

   Bon ok, c'était pas une voix super jolie, c'était plutot genre robot mais c'était largement suffisant pour comprendre ce qu'il disait. Maintenant savoir si ceux qui ont eu ce jouet était meilleur en orthographe que les autres, j'en ai aucune idée mais je les plains

 

Big Jim

  Mattel est avant tout connu pour sa poupée barbie. Pour les garçons, la firme avait lancé sur le modéle de sa célébre poupée blonde Major Matt Mason. Malheureusement, au début des années 70, avec le désastre de la guerre du vietnam, le sentiment anti guerre commençait à envahir les Etats Unis. C'est Hasbro qui prit conscience le premier de ce phénoméne et ses figurines Gi Joe fûrent renommer Gi Joe Adventure Team. Plus qu'un simple changement de nom, celà correspondait à une nouvelle direction pour la gamme: au lieu de proposer que des soldats, la gamme s'ouvrait aux explorateurs et aux aventuriers.

   Désireuse de concurrencer Hasbro, Mattel décida de lancer à son tour une ligne de jouet basée sur un théme non militaire: c'est ainsi qu' en 1973 vût le jour Big Jim. Ce fût immédiatemment un immense succés en Europe (surtout en France, en Italie, et en Allemagne). Malheureusement aux Etats Unis, les ventes s'essouflèrent vite et Mattel préfera arréter les frais en 1977 et stoppa la distribution de Big jim sur le marché américain. Par contre, ils continuèrent de créer de nouveaux personnages pour le marché de la vieille europe et ils développérent les lignes: Big Jim-espion, big Jim-Pirates, Big Jim-Cosmonaute...

   Ce qui était cool avec Big Jim c'était que chaque personnage avait une particularité: quand on appuyait sur le dos de Big Jim Karate, le bras de celui ci faisait une attémie, ou alors vous aviez le big jim qui pouvait changer de visage..
   En dehors des personnages, la gamme comportait des voitures, un hélico, un van... Devant le succés rencontré par les jouets, des imitations en plastique dont les bras n' étaient pas articulées sont apparues mais leur qualité médiocre empêchait de les confondre avec le vrai Big Jim.

   Big Jim n'existe plus à proprement parler mais Mattel commercialise désormais Max Steel dont la taille et le scaractéristiques rappellent le héros de notre enfance (sans parler d'action man..)


Wacky WallWalker

  C'est le jouet inutile par excellence: la pieuvre qui marche sur les murs . Le principe est identique à la main collante: le jouet est endui  d'une substance collante qui permet à la pieuvre de rester accrocher au mur et de se décrocher suffisamment lentement pour permettre à une autre de ses tentacules de se coller au mur. et ainsi la pieuvre descend petit à petit la surface.Passé une certain temps, l'adhésion de la pieuvre était mauvaise, ce qui m'obligeait à la savonner afin qu'elle recolle correctement.

Ce jouet a été inventé au japon mais c'est grace au docteur Fad que le monde entier a été envahi par ces pieuvres. En effet, sa mère envoya à ses petits fils l'un de ces jouets. Fasciné par la pieuvre, le Docteur en distribua dans certaines boutiques. Rien ne prédestinait un tel succés mais  des journalistes du Washington Post et de CBS news décidèrent d'en parler et ce fût le début d'un raz de marais: on estime à plus de 350 millions le nombre de Wacky WallWalker vendus.

Pour en savoir plus: http://www.drfad.com
 

Battle Beasts

  "Le feu brûle le bois! Le bois flotte sur l'eau! L'eau éteind le feu!" Tous les gosses ont joué à Pierre, feuille, ciseau sauf qu'avec les Battle beats, on le faisait avec des jouets. Ces derniers représentaientt un animal sous forme humaine avec une armure sur lui. Chaque personnage avait un écusson sur le torse, il suffisait de le froter et apparaissait soit le symbôle du feu, du bois ou de l'eau (le requin ci contre était pas nécessaire affublé d'un écusson "Eau", ça aurait été trop facile).

   Ces jouets sont apparus au milieu des années 80 au Japon. Ils fûrent crées par la firme Takara comme sous catégorie de leur ligne transformer: les Beast formers. C'est Hasbro qui en 1986 distribua ces figurines dans le reste du monde. Si chaque personnage avait une arme avec lui, c'était son écusson qui faisait toute sa valeur, une infime partie avait droit d'arborer un embléme spécial: le sunburst qui permettait de battre tous les autres. En tout, 76 mi homme/mi animal ont été créés allant du lion à l'oran outang.

   Malheureusement, ce fût un désastre économique en France. Il est vrai que l'idée de perdre sa figurine en jouant à Pierre, feuille ciseau n'incitait pas à jouer au Battle beast. Et puis autre désavantage: ils étaient vendu par deux; or souvent l'un des personnages étaient totalement inintéressant.

http://web.archive.org/web/20020124185044/yesterdayland.com/popopedia

/shows/toys/ty1257.php

Monster in my Pocket

   Les monsters in my Pocket ont été créé fin des années 80/début 90 par la société Matchbox. Si la plupart était vendu dans le commerce, certaines de ces créatures étaient spécialement créées pour d'autres firmes (on les retrouvait notamment comme surprise pour des céréales). En tout, on compte près de 150 créatures. La 1ère série est de loin la plus abloutie et la plus jolies.

   Ce qui choque en 1er lieu, c'est leur couleur fluo unique: les monstres étaient soit vert, soit rouge, soit jaune, soit mauve. Si vous étiez assez courageux, rien ne vous empêchez de les peindre mais bon c'était pas trop prévu pour

  Par contre si aux USA, ces jouets étaient vendus par pack de 4, en europe, ils étaient vendus dans les librairies et dans des sachets contenant une seule créature accompagnée d'une trading Card. Comme le sachet n'était pas transparent, on se retrouvait souvent avec des doubles et le succés n'ayant pas perduré (il est vrai que la seconde série étaient vraiment mal faite) , c'était assez difficile de trouver quelqu'un pour les échanger.

Pour voir l'ensemble des Monsters allez sur ce site

 

Savant fou

  Dans les années 80, Mattel dominait le marché des jouets. En 1986, désireuse de se diversifier, la firme créa une toute nouvelle ligne: le savant fou (ou Mad scientist aux USA). Loin des figurines qui ont fait sa renommée (que ce soit Big Jim, Barbie,..), Mattel s'inspira des boites de chimistes qui marchaient bien à l'époque mais en y mettant sa touche personnelle.

 Au lieu de devoir faire des expériences dont le but était éducatif, le savant fou proposait aux enfants de réaliser des expériences bien dégoutantes.
 


   Chaque boite incluait une expérience qui devait écoeurer les parents et faire rire les enfants. Pelle méle, il s'agissait de dissoudre un monstre qu'on venait juste de créer avec une sorte de pate à modeler dans un bain "d'acide", de procéder à une vivisection d'un horrible extra terrestre et complétement l'éviserer avec organes et slim inclus,...

  Plus simplement, des blisters vendus séparemment permettaient juste de créer des personnages ou des yeux à l'aide du monstrogel (une pate transparente dont on pouvait faire une balle qui rebondissait), juste pour avoir le plaisir de les écrasser impitoyablement. comme le disait la pub, "Fabrique des monstres abominables, et fais dissoudre la pata monstre de leurs os" (traduction beaucoup plus soft que la version US: "Make disgusting, gross monsters. Then sizzle the flesh off their bones").

  

Pour en savoir plus un site Us et un japonais

Dragster

   Ce jeux se jouait à deux. Chacun avait 4 voitures et le but du jeux était de lancer une bille grace à une petite languette qu'on tirait et relachait pour propulser la bille qui en heurtant un petit muret, changer de direction et suivait l'une des quatres pistes, repoussant par la même une de vos quatres voitures.
    Celui qui arrivait à faire franchir la ligne d'arriver à ses quatres voitures en 1er était le vainqueur. Il fallait bien estimer la force avec la quelle on tirait sur la languette et bien viser car à trop tirer dessu, on risuqait d'envoyer la bille virvoletter au dessus du muret et partir de l'autre côté de la pièce. Lancé en 1976 par MB, le jeu a connu un joli succés en europe.

Army Gear


  " Rho l'autre est, il a une gourde et une torche pour jouer la honte."
   " Tssssss, z'étes nuls c'est pas une gourde c'est un porte avion."
   " Waou tu crois pas que 8 ans c'est tôt pour commencer les pétards"


    Army Gear c'est le grand oublié des sites conscrés aux jouets des années 80. Le principe était simple: c'était des objets apparemment banal de la vie militaire qui se transformaient en terrain de jeux pour des petits soldtas; La gourde se transformait en porte avions quand on l'ouvrait, la torche devenait une tour de guet avec grue mobile, les jumelles en base stratégique avec gros cannon...

  C'était un peu le même principe que Mighty Max mais côté militaire et avec le côté disimulation de l'objet militaire dont l'ignorant ne sait pas qu'il s'y cache un terrain de jeu, ça permettait de transporter facilement tout un univers pour jouer sans prendre beaucoup de place. Mais le truc ultime c'est que tous les objets remplissaient bien leur fonction apparante: la gourde pouvait être remplie d'eau, la torche s'allumait...

   Malheureusement si l'idée était bonne, la concurrence avec d'autres jouets allait être fatale à la ligne qui n'a pas duré.